Qui suis-je?

cv

Noémie LEPRÊTRE
Psychologue Clinicienne diplômée de L’Ecole des Psychologues Praticiens de Lyon (69), diplôme d’état
www.psycho-prat.fr

 

Qu’est ce que la psychologie clinique ?Au chevet
Etymologiquement, « clinique » signifie « au chevet de ». Le psychologue clinicien serait donc « le psychologue au chevet du malade ». Si aujourd’hui le psychologue clinicien ne s’adresse plus à des « malades » mais à des personnes « en recherche de mieux être », ses principaux outils, qui sont l’écoute active et la parole, restent bien au service du soin de la personne. La psychologie clinique se différencie donc du courant évaluatif qui travaille quant à lui à partir de tests proposant une cartographie de la psyché.



La question que tout le monde se pose : quelle est la différence entre le psychiatre, le psychanalyste et le psychologue ?
Tous s’entendent pour reconnaître que « l’inconscient existe » et qu’il nous est possible d’y avoir accès.

  • Le psychiatre : Il est médecin avec une spécialisation en psychologie. Il est donc habilité à délivrer des médicaments. Il réalise ainsi des doubles suivis, psychologiques et médicaux.
  • Le psychanalyste : Il utilise comme technique de soin la « verbalisation » et s’appuie sur une approche théorique (dont le père est Sigmund Freud) à même de comprendre les logiques inconscientes qui peuvent faire souffrir une personne. Il reste le plus souvent dans une neutralité relationnelle.
  • Le psychologue : Il détient un master de psychologie. Il s’inspire de la théorie psychanalytique mais interagit directement avec son client en s’appuyant sur différentes approches thérapeutiques, complémentaires à la psychanalyse. Il s’attache à aider la personne à décrire, évaluer et donner du sens à ses processus mentaux en prenant en compte ses comportements et sa subjectivité.

 

relation humaineUne psychologie clinique « multi-référentielle » et « relationnelle »
Pour ma part, je suis psychologue (diplôme d’état) clinicienne (non évaluative) et mon approche est multi-référentielle. C’est à dire que je ne m’inscris pas dans un courant spécifique de pensée (comme l’Hypnose, les Thérapies Cognitivo-Comportementales, la Systèmie familiale, etc.) mais que j’utilise certains outils de ces différentes approches de la psyché selon chaque personne et ce qui me parait le mieux adapté à son besoin (parole, écoute active, dessin, photo-langage, jeux, etc.).
Ayant constaté que ce qui était réellement « soignant » ou « aidant » était la relation interpersonnelle qui s’établit entre le client et le psychologue, ceci dans le cadre d’un contrat explicite d’accompagnement, je mets « qui je suis » au service du lien thérapeutique. Sachant qu’il y a autant de relations qu’il y a d’individus pour entrer en relation, un thérapeute ne peut bien évidement pas convenir à tout le monde. Voilà pourquoi le premier entretien que je propose est avant tout une rencontre qui sert à établir un premier contact avant de se décider à s’engager dans un travail. Si c’est le cas, ce temps d’échange est également mis à profit pour définir ensemble la durée et la fréquence des futures séances.